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 EMILY RUDD PERSONNAGE.

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Sweet Heart

Sweet Heart

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MessageSujet: EMILY RUDD PERSONNAGE.    EMILY RUDD PERSONNAGE.  EmptySam 28 Fév - 22:43



- On m'a vu dans le vercors, sauter à l'élastique. Voleuse d'amphores, au fond des criques ;

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- Oh, mon égérie. Quittons ce bitume qui nous rend gris, nous abrutit et salit nos plumes ;

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Sweet Heart

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MessageSujet: Re: EMILY RUDD PERSONNAGE.    EMILY RUDD PERSONNAGE.  EmptyDim 8 Mar - 13:06


EMILY RUDD PERSONNAGE.  Cq5DwsJ EMILY RUDD PERSONNAGE.  U6bzToc
emrys et bambi
 ☆- and you saw that angel on the edge of the road ;

C'est étrange, quand on y pense. Cette manière de déambuler comme une âme en peine, à la recherche d'une quelconque âme à effrayer au détour d'un motel aussi désaffecté qu'hanté. J'en avais connu, des âmes en peine. En général, j'en retirais toute l'inspiration qu'elles pouvaient m'offrir, pour coucher celle-ci sur un papier aussi usé qu'elles. Je ne les prenais en aucun cas pour pitié, ces petites étoiles éclatantes ternies par la vision qu'avaient les autres d'elles. Ces petites étoiles qui avaient loupé le coche, qui n'avaient pas réalisé ce que les autres pouvaient en attendre. Des attentes démesurées pour ces merveilleuses boules de plasma. Ces étoiles qui croyaient avoir perdu leur chemin, et à qui il arrivait de croiser le mien, tout aussi tortueux. Moi, j'étais seulement fascinée. Ces étoiles, je les aimais autant que les étoiles que j'avais l'occasion de voir, ce soir-là, dans le ciel noir de jais à perte de vue. Incroyable. Elles étaient éclatantes pour une nuit aussi fraîche que celle-ci. Mon minois relevé vers le ciel, j'en venais à sourire légèrement à voir cette étendue perlée. Vision quelque peu dérangée par les bruits de klaxons qui se succédaient de part et d'autres des ruelles qui s'entrecroisaient à l'avenue à laquelle je me trouvais. Il faisait nuit, il faisait froid, il faisait bon d'être ailleurs. En outre, il était bon de ne pas traîner dans le coin, lorsqu'on ne se trouvait pas être un camé, un dealer, un brigand, un proxénète, une prostituée ou toute autre personne du même acabit. En gros, une personne dite fréquentable. Le problème est que je ne faisais pas partie de ces gens-là, présentement. Vêtue d'une robe couleur bordeaux qui me collait tant que je parvenais à la comparer à une seconde peau, je laissais mes jambes quasi-nues faire quelques pas sur le bord du trottoir, tandis que mon esprit s'évertua à répéter une énième fois que je détestais les chaussures qui s'accaparaient mes pieds blancs. Mon aisance à les porter ne reflétait en aucun cas le dégoût qu'elles m'inspiraient. Elles me portaient haut, moi, la petite, me donnant une allure de lubrique offrande portée sur un piédestal satanique et perfide. Je les trouvais vulgaires, prétentieuses, et hautaines. Tous les défauts de la terre. Elles étaient lourdes, qui plus est. Tout ce que je portais était visiblement voué à m’entraîner vers le bas. Les bras repliées contre mon torse, le tout protégée par une légère veste en cuir. Il n'allait pas être bien content, que je rajoute des couches de vêtements. Peu m'importe. Je ne comptais pas en finir avec la vie, en frôlant la mort par hypothermie. Le vent glacial se faufilait dangereusement entre les pans de mes vêtements, et frigorifiait chaque parcelle de ma peau avec une aisance effrayante. Il faisait froid, bien trop froid. Mais je savais d'expérience que les heures qui suivraient seraient, paradoxalement, moins difficiles à tenir. Le corps s'habitue à tout. Toute source de chaleur était bonne à récupérer, c'est pourquoi je faufilais mes fines mains dans ma chevelure, en détachais le nœud qui la retenait, et laissais mes longues mèches rebelles, noires comme la nuit, descendre le long de ma colonne. Et je marchais. Quelques petits pas seulement, de manière à faire comprendre à ceux qui connaissaient le milieu que je n'étais pas ici pour atteindre un taxi. Pour rejoindre un ami avant d'aller au cinéma, ou encore pour traverser la rue dans le but de rentrer chez moi. La plupart le comprenaient aisément, bien évidement. D'ailleurs, un homme aux longs cheveux blonds ne faisaient que me dévisager depuis plusieurs minutes, le dos calé contre une affiche publicitaire, dans un coin. Je sentais son regard sur moi, mais je sentais également qu'il n'aurait certainement pas le courage de venir. Contrairement aux autres, je ne venais jamais vers eux. J'attendais qu'ils viennent à moi. Non, je ne racolais pas au sens strict du terme. Peu importe si, au final, j'y perdais. Alors, je marchais. Je marchais, encore. Je marchais, comme toujours. Jusqu'à ce qu'un chat se frotte à mes jambes dénudées. Je baissai les yeux, un sourire ravie fleurissant sur mon visage. Voilà la première chose mignonne que j'avais l'occasion de voir - dans cette ruelle malfamée que je ne connaissais que trop bien - de mes yeux surpris : « hey ... Tu as perdu ton chemin ? » la légende n'avançait-elle pas que les animaux bénéficiaient du sixième sens qui leur permettait d'éviter les zones à danger ? Je me baissais tout doucement, m’accroupissant pour caresser furtivement le haut de son crâne. J'eus ainsi l'occasion de constater que son pelage n'était pas des plus soignés. Un chat errant, en somme. Fallait-il en déduire que la ruelle coupant l'avenue Murphy, à mi-chemin entre red motors - l'antre des motards - et le motel miteux de la ville, était réservée aux déchus, aux errants, et aux sans-famille, animaux et humains inclus ? « Ne t'en fais pas. Moi non plus, je n'ai pas de maison. » ce qui, en soit, n'était pas entièrement faux. A mes yeux, la définition de maison ne se contentait pas de quatre murs et d'une table. Il s'agissait aussi d'un point d'ancrage. Quelqu'un à qui faire confiance. La famille, la plupart du temps. De ce côté-là, autant dire que je me sentais lésée. Je le vivais étrangement bien, cela dit. « Allez, file. C'est pas très prudent de traîner par ici. » une dernière caresse, un dernier sourire amusé, un dernier regard bleuté enfantin. Par la bonne augure de mes conseils avisés, le chat poursuivit son chemin. Et moi, je restais là. La prostituée qui commençait à peine à faire sa ronde. Au final, c'était sûrement de cette manière que j'étais perçue, dans le coin. Ni plus ni moins qu'une vulgaire chatte de gouttière.

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Sweet Heart

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MessageSujet: Re: EMILY RUDD PERSONNAGE.    EMILY RUDD PERSONNAGE.  EmptyJeu 25 Juin - 16:57


EMILY RUDD PERSONNAGE.  Tumblr_nhm5gzkFE41sx2o4ao2_250 EMILY RUDD PERSONNAGE.  1434720435-275
bamwig ☆
 - and I can't do nothing about this strange weather ;

De longs sillons brumeux venaient se dessiner sur les façades vitrées, laissant derrière eux des tracés irréguliers. Je venais à les observer, de mes grands yeux azurs, tandis que la symphonie - nébuleuse et mélancolique - berçait mon esprit. Celle de la pluie extérieure, associée à l'eau de la salle de bain qui coulait sur le corps de celui qui avait demandé le mien, cette nuit-là. J'aimais la pluie. Je n'étais pas de celles qui la fuyaient pour se réfugier sous les toits, celles qui étaient paniquées à l'idée de vouloir le noir couler sous leurs délicieux yeux de chats. Quitte à voir le maquillage ruiner mon maquillage, moi, je me plaisais à danser sous la pluie lorsque celle-ci venait à se manifester. Un rien m'amusait. Pourtant, cette fois-ci, je la contemplais à travers la baie vitrée qui m'emprisonnait dans une maison qui n'était pas la mienne. Je posai délicatement la main sur cette barrière, ayant visiblement besoin de prendre conscience de sa matérialité pour réaliser à quel point j'étais tout bonnement coupée du monde extérieur. Je ne ressentais ni peur, ni appréhension, ni joie, ni mélancolie, ni sensation réelle. Je n'avais jamais peur. C'était sûrement ce trait de caractère qui m'avait amenée à cette carrière. Or, présentement, je me contentais seulement d'observer le monde plongé dans la nuit noire, du haut de ma cage dorée. Les billets judicieusement glissés dans mon short, l'argent sale exposé sans pudeur dépassait et laissait voir sa couleur à qui le voulait bien. Sauf qu'il n'y avait personne. Personne qui pouvait s'étonner du montant de la somme d'argent qui se trouvait plaquée contre ma hanche et surtout, personne pour savoir ce à quoi je m'adonnais pour le gagner. En somme, personne pour juger la nature de mon travail. Personne, à part moi et et Samuel. Trente ans, les cheveux tirants vers le châtain acajou, et visiblement, pas mal d'argent à dépenser. Je ne peux rien ajouter de plus, me retrouve dans l'incapacité d'en dire davantage sur cet homme. Son film favori, sa couleur préférée, la nature de ses allergies, le prénom de sa mère, son premier animal de compagnie, ou je ne sais quelle connerie encore. La seule chose que je pouvais me permettre d'avancer, c'était sa naïveté. Après tout,quel homme serait capable d'accorder une confiance aveugle à une escortgirl, assez pour la laisser seule dans son appartement luxueux pendant qu'il prendrait sa douche ? Visiblement, Samuel était de ceux-là. Et ce malgré qu'il m'ait rencontrée trois heures auparavant. Je ne m'en plaignais pas, il m'avait offert l'équivalent d'un mois de loyer pour me réserver une soirée et une nuit entière. Puis le poids du silence. Mes oreilles se dressèrent, tandis que chaque préoccupation de mon esprit fut aspirée par ce changement d'atmosphère. Il n'allait pas tarder à revenir. Ma supposition se révéla exacte, puisqu'il suffit d'une dizaine de minutes pour l'apercevoir, adossé au cadre de la porte de la salle de bain, un jeans déjà enfilé, torse nul, en train de se battre avec la chemise immaculée qu'il souhaitait porter mais qui se refusait à lui à cause de l'humidité de ses mains. « Allons-y. » me désintéressant de la vision que m'offrait le vingt-sixième étage, je me retournai vers celui qui venait de se manifester. J'hochai doucement la tête et récupérai mon sac qui trônait sur le coin du lit, le temps qu'il enfile sa chemise récalcitrante, et nous voilà dehors. Trois heures et demie plus tard. Trois heures durant lesquelles il s'était amusé à narguer ses potes trentenaires en m'affichant à ses côtés comme la dernière des broches de riche sur le marché. Que ce soit une mascarade en soirée, ou une nuit en appartement, le travail restait le même pour moi. Il me déposa au détour de la ruelle que je commençais à connaître comme ma poche. Mes pas marqués par mes talons m'amenaient je-ne-sais-où après que la voiture de Samuel ait déserté les lieux. Le temps de notre escapade, la pluie avait cessé. Seules les flaques et la fine odeur de pluie prouvaient son passage. Pensive, je marchais sans réel but, sans même connaître l'heure, ou même le jour. Et je m'en fichais pas mal, comme toujours. La baie vitrée d'un petit café malfamé me donna l'occasion de jeter un oeil à l'intérieur. 05h02, heure clairement distincte sur le comptoir. Ma nuit était terminée, brûlée par les heures passées auprès de ce client. La fatigue ne me gagnait pas, je me sentais seulement coupée de la réalité. Ma tenue était courte, et ne laissait pourtant pas le froid gagnait mes membres. Au détour des ruelles, je croisais les âmes perdues qui partageaient mon lot quotidien. Ivres morts au bord du trottoir, prostituées se dirigeant vers leur domicile qui leur offrirait certainement un repos bien mérité, camés consommant ce qu'ils venaient d'acheter. En parlant de camé. Je voulais le voir. Maintenant. Il me manquait tout le temps, sans arrêt. Il m'arrivait très souvent de le retrouver, après deux nuits de travail. On finissait à la même heure, lui et moi. Parce que nos métiers immoraux nous amenaient toujours à atteindre le sentiment du travail accompli en début de matinée seulement. Nous opérions seuls, la nuit tombée, à l'abris des regards, dans les ruelles qu'il n'est pas bon de fréquenter lorsqu'on est "fréquentable". Ça tombait bien, ni lui ni moins ne l'étions. Ce qui était étrange, c'est que je m'inquiétais. Je n'étais pas de ce genre-là, pourtant. J'étais une enfant, dans ma tête c'était le foutoir. Pas assez de place pour les inquiétudes et les responsabilités. Pourtant, dès qu'il s'agissait de son sort à lui, je ressentais une once de panique. J'étais tout bonnement incapable de dire s'il s'agissait de son addiction à la drogue, ou du fait que la dernière personne à laquelle je m'étais vraiment attachée avait trouvé la mort de manière atroce, mais j'entretenais l'obsession qui me confirmait que je le perdrais du jour au lendemain. Pour une raison ou pour une autre. En attendant, cette inquiétude n'était pas assez grande pour être remarquée. Mon visage restait lisse, paisible. Je sentais, par ailleurs, le vent de nuit glisser sur celui-ci, tandis que mes pas me dirigeaient vers la ruelle à laquelle exerçait Ludwig. Tournant après le feu au carrefour. Cent mètres jusqu'au bar de Joe, chemin à droite. J'étais arrivée à la petite ruelle ombragée que je cherchais. La vision de ce lieu était fidèle à la réputation qu'il entretenait. Mais ce genre de quartier ne me faisait pas peur. Du moins, plus maintenant. Quelques secondes me suffirent pour repérer les cheveux bouclés, couleur bronze, de l'allemand qui se tenait face à un toxicomane. Non, je n'aimais pas ces addictions. Mais je me fichais éperdument du fait qu'il gagnait son pain grâce à celle des autres. Tant qu'il n'en était personnellement pas lésée, le reste m'importait peu. Mes pas m'amenèrent jusqu'à lui. Il était calme, le dos tourné, la tête légèrement baissée vers son butin. Je restais silencieuse, mes pas de chats avançant paisiblement,

: « le marchand de sable a fini d'assoupir les esprits ? » mes yeux bleus se levèrent vers le regard noisette de mon meilleur ami. Un fin sourire heureux dessiné sur mes lèvres. Heureuse de le voir, totalement inconsciente du fait qu


Dernière édition par Sweet Heart le Mar 30 Juin - 23:13, édité 35 fois
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MessageSujet: Re: EMILY RUDD PERSONNAGE.    EMILY RUDD PERSONNAGE.  EmptyJeu 25 Juin - 18:31

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